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Bonjour. Il est bizarre que l'interrupteur crépusculaire ne soit pas alimenté en permanence. Le contact de l'horloge ne devrait-il pas être placé en aval du contact de l'interrupteur crépusculaire ? Les alimentations de l'horloge et de l'interrupteur crépusculaire devraient être ensemble et protégées.
Il faut vous inspirer des montages classiques d'éclairage domestique qui seraient alimentés et protégés de la même façon.
Pour les protections, chaque élément doit posséder la sienne propre sous forme de fusible ; il faut donc consulter les notices.
J'aurais tendance à isoler la batterie avec un petit DJ bipolaire ou porte fusible à deux coupures, idem pour la ligne de led qu'il faut pouvoir isoler et protéger contre un éventuel court-circuit qui serait répercuté sur la batterie. Penser à la sélectivité des protections quand elles sont en cascade.
S'agissant d'un montage pédagogique pouvant être utilisé en essai de système, il faudrait y mettre des bornes de mesure, ainsi que des cavaliers permettant d'isoler l'un ou l'autre des appareillages pour tester chaque composant.
Le montage étant isolé du secteur et en TBT il n'y a pas lieu d'y mettre une protection différentielle.
Pourquoi n'avez vous pas demandé conseil auprès de vos camarades ou professeurs ?
Il faut vous inspirer des montages classiques d'éclairage domestique qui seraient alimentés et protégés de la même façon.
Pour les protections, chaque élément doit posséder la sienne propre sous forme de fusible ; il faut donc consulter les notices.
J'aurais tendance à isoler la batterie avec un petit DJ bipolaire ou porte fusible à deux coupures, idem pour la ligne de led qu'il faut pouvoir isoler et protéger contre un éventuel court-circuit qui serait répercuté sur la batterie. Penser à la sélectivité des protections quand elles sont en cascade.
S'agissant d'un montage pédagogique pouvant être utilisé en essai de système, il faudrait y mettre des bornes de mesure, ainsi que des cavaliers permettant d'isoler l'un ou l'autre des appareillages pour tester chaque composant.
Le montage étant isolé du secteur et en TBT il n'y a pas lieu d'y mettre une protection différentielle.
Pourquoi n'avez vous pas demandé conseil auprès de vos camarades ou professeurs ?
16 mai 2013 à 10:32

Bonjour. Vous ne précisez pas la surface habitable et si elle est appelée à augmenter.
Le poste chauffage semble sous-dimensionné.
Pour une habitation moyenne sur un niveau avec équipement tout électrique, 8 kVA est un bon début. Si on rajoute un étage couvrant toute la surface on passe à 12 kVA en monophasé. Pour des surfaces supérieures on peut passer à 15 ou 18 kVA, mais en triphasé. Donc il faut que vous affiniez votre étude.
Pour ce qui concerne la fabrication des pieuvres, ce n'est pas du tout la meilleure méthode, car l'installation sera figée pour l'éternité. Donc ce point est très négatif.
Il faut faire votre schéma à partir du tableau de distribution d'où toutes les lignes partiront, quitte à ce que certaines arrivent dans de grosses boites de dérivation judicieusement réparties dans certaines pièces.
C'est un travail de préparation très important et cela vaut la peine d'y passer beaucoup de temps. La réalisation elle même est très longue si l'on travaille tout seul, et il vaut mieux être très proche du métier.
Conclusion : il faut définir la puissance nécessaire en tenant compte d'une évolution possible de l'habitat, et laisser tomber la réalisation de pieuvres ou autres systèmes figés dont vous ne serez pas maitre et qui empêcheront toute modification ou adaptation. La définition de la ligne sera effectuée après le choix de la puissance. Il faudra penser à passer les lignes de télé-information, et tout ce qui concerne éclairage extérieur et portail automatique ultérieur. Mais c'est du plein temps, avec de fortes compétences en électricité.
Si ce n'est pas le cas, des erreurs irrémédiables peuvent être commises. On ne bricole pas en électricité.
Le poste chauffage semble sous-dimensionné.
Pour une habitation moyenne sur un niveau avec équipement tout électrique, 8 kVA est un bon début. Si on rajoute un étage couvrant toute la surface on passe à 12 kVA en monophasé. Pour des surfaces supérieures on peut passer à 15 ou 18 kVA, mais en triphasé. Donc il faut que vous affiniez votre étude.
Pour ce qui concerne la fabrication des pieuvres, ce n'est pas du tout la meilleure méthode, car l'installation sera figée pour l'éternité. Donc ce point est très négatif.
Il faut faire votre schéma à partir du tableau de distribution d'où toutes les lignes partiront, quitte à ce que certaines arrivent dans de grosses boites de dérivation judicieusement réparties dans certaines pièces.
C'est un travail de préparation très important et cela vaut la peine d'y passer beaucoup de temps. La réalisation elle même est très longue si l'on travaille tout seul, et il vaut mieux être très proche du métier.
Conclusion : il faut définir la puissance nécessaire en tenant compte d'une évolution possible de l'habitat, et laisser tomber la réalisation de pieuvres ou autres systèmes figés dont vous ne serez pas maitre et qui empêcheront toute modification ou adaptation. La définition de la ligne sera effectuée après le choix de la puissance. Il faudra penser à passer les lignes de télé-information, et tout ce qui concerne éclairage extérieur et portail automatique ultérieur. Mais c'est du plein temps, avec de fortes compétences en électricité.
Si ce n'est pas le cas, des erreurs irrémédiables peuvent être commises. On ne bricole pas en électricité.
15 mai 2013 à 09:17

Bonjour. Peu importe le titre du thème. Vous avez à associer les composants que vous avez cités.
Les protections seront les habituelles quand on met en service batterie, panneau et régulateur ; vous devez avoir un cours ou un essai de système dont vous pourrez vous inspirer. L’interrupteur crépusculaire devra être alimenté en permanence par la batterie, la protection de la ligne de led sera assurée à son départ.
Vous élaborez le projet et le soumettez à votre professeur de génie électrique.
Les protections seront les habituelles quand on met en service batterie, panneau et régulateur ; vous devez avoir un cours ou un essai de système dont vous pourrez vous inspirer. L’interrupteur crépusculaire devra être alimenté en permanence par la batterie, la protection de la ligne de led sera assurée à son départ.
Vous élaborez le projet et le soumettez à votre professeur de génie électrique.
15 mai 2013 à 09:02

Bonsoir.
La plupart des plaques avec feux classiques à résistance sont connectables sur les trois phases, d'où un bon équilibrage des intensités.
Citation :C'est tout simple. Quand on dispose du triphasé 230 / 400 V, on branche deux phases en L1 et L2, et le neutre en 4. Ainsi, cela permet d'équilibrer un tant soit peu le fonctionnement sur deux phases. Rares sont les plaques à induction fonctionnant avec les trois phases.
je ne comprends pas l'installation en 400 V
La plupart des plaques avec feux classiques à résistance sont connectables sur les trois phases, d'où un bon équilibrage des intensités.
14 mai 2013 à 22:21

Bien reçu. Vous avez quand même 3 plaques pour 6,4 kW en 230 V monophasé.
En mono c'est bien 32 A, même si le constructeur annonce 25 A de protection.
Vous avez bien une distribution monophasée ? Si non ça change tout.
En mono c'est bien 32 A, même si le constructeur annonce 25 A de protection.
Vous avez bien une distribution monophasée ? Si non ça change tout.
14 mai 2013 à 15:30

Bonjour Alexandre.
C'est un montage sans intérêt. Néanmoins, pour vous amuser, il faut juste un chargeur et une batterie, puis on branche l'autoradio dessus en respectant la polarité. C'est ce qu'indique mf06 en réponse 1.
L'utilisation d'une alimentation stabilisée est toujours possible mais cela n'en vaut pas la peine économiquement. Il faut qu'elle soit capable de débiter quelques ampères sous 12 V. On en trouve de pas très chères sur le marché.
C'est un montage sans intérêt. Néanmoins, pour vous amuser, il faut juste un chargeur et une batterie, puis on branche l'autoradio dessus en respectant la polarité. C'est ce qu'indique mf06 en réponse 1.
L'utilisation d'une alimentation stabilisée est toujours possible mais cela n'en vaut pas la peine économiquement. Il faut qu'elle soit capable de débiter quelques ampères sous 12 V. On en trouve de pas très chères sur le marché.
14 mai 2013 à 11:49

Bonjour. C'est simple, la réponse est non.
On ne divise pas les conducteurs de façon à éviter tout incident pouvant être très dangereux si par hasard l'un n'est plus connecté, et ce d'autant plus qu'il faut une section de 6 mm².
Il va vous falloir passer un nouveau câble de type 3g6. Quitte à ce qu'il soit en apparent ou dans une goulotte.
On ne divise pas les conducteurs de façon à éviter tout incident pouvant être très dangereux si par hasard l'un n'est plus connecté, et ce d'autant plus qu'il faut une section de 6 mm².
Il va vous falloir passer un nouveau câble de type 3g6. Quitte à ce qu'il soit en apparent ou dans une goulotte.
14 mai 2013 à 10:15

Bonjour.
L'eau pourrait arriver par la dalle si elle est poreuse (cas de pluie importante éventuelle), mais là encore il faut trouver l’origine de l'eau.
Ni phénomène d'aspiration, ni fuite par joint des WC (le circuit d'évacuation est normalement étanche, vide sauf au moment de l'utilisation de la chasse, sans remontée dans les WC sauf cas de bouchon aval).
Assurez vous qu'il n'y a pas de fuite, robinet d'arrivée ouvert, et tous les autres fermés. On pose l'oreille sur la canalisation et on peut entendre un chuintement. On peut également faire une mesure de consommation à quelques heures d'intervalle dans les mêmes conditions.
Une fois l'hypothèse WC invalidée, il faudra approfondir vos recherches.
Citation :Si justement, vous devez trouver l'origine de cette eau, en partant de la flaque et en remontant vers le WC. Mais ce n'est pas forcément lui.
...c'est à n'y rien comprendre
L'eau pourrait arriver par la dalle si elle est poreuse (cas de pluie importante éventuelle), mais là encore il faut trouver l’origine de l'eau.
Ni phénomène d'aspiration, ni fuite par joint des WC (le circuit d'évacuation est normalement étanche, vide sauf au moment de l'utilisation de la chasse, sans remontée dans les WC sauf cas de bouchon aval).
Assurez vous qu'il n'y a pas de fuite, robinet d'arrivée ouvert, et tous les autres fermés. On pose l'oreille sur la canalisation et on peut entendre un chuintement. On peut également faire une mesure de consommation à quelques heures d'intervalle dans les mêmes conditions.
Une fois l'hypothèse WC invalidée, il faudra approfondir vos recherches.
14 mai 2013 à 08:36

Bonjour. Vous ne précisez pas s'il s'agit d'un simple mélangeur à poignée ou d'un mitigeur thermostatique. On ne voit pas comment la pose de 2 mètres de tuyau pourrait changer la température de l'eau.
Des précisions seraient bienvenues.
Des précisions seraient bienvenues.
14 mai 2013 à 08:24

Bien reçu. C'est délicat si vous n'avez pas la notice. Avec la marque, vous pourriez l'obtenir auprès du service clients. Ce peut être également le clapet anti-retour présent dans le conduit de raccordement en eau.
Il faut enlever la poignée de réglage de la température, puis dévisser un écrou, une bague, puis dévisser l'élément thermostatique avec une clef plate (extrait de notice Grohe). Ensuite, on peut laisser tremper dans du vinaigre blanc pendant quelques heures. Le remontage nécessite généralement un réglage de la température.
Si vous n'avez pas d'expérience, il vaut mieux demander l'assistance d'un professionnel qui vous fera ce travail de remise à neuf rapidement.
Mais il vaut mieux que vous attendiez et observiez avant de tenter quelque démontage.
Si le mitigeur vous semble de premier prix et si vous êtes dans vos murs, il faudra voir si le changer pour une grande marque ne serait pas une bonne solution.
Attendons d'autres avis.
Il faut enlever la poignée de réglage de la température, puis dévisser un écrou, une bague, puis dévisser l'élément thermostatique avec une clef plate (extrait de notice Grohe). Ensuite, on peut laisser tremper dans du vinaigre blanc pendant quelques heures. Le remontage nécessite généralement un réglage de la température.
Si vous n'avez pas d'expérience, il vaut mieux demander l'assistance d'un professionnel qui vous fera ce travail de remise à neuf rapidement.
Mais il vaut mieux que vous attendiez et observiez avant de tenter quelque démontage.
Si le mitigeur vous semble de premier prix et si vous êtes dans vos murs, il faudra voir si le changer pour une grande marque ne serait pas une bonne solution.
Attendons d'autres avis.
13 mai 2013 à 22:35

Bonjour. Vous avez dû voir que si la pression du réseau est forte cela peut engendrer des bruits aléatoires.
Le sifflement du mitigeur peut provenir d'un entartrage consécutif à son usage s'il est ancien.
Un nettoyage interne pourrait-être envisagé. Pour cela, vous regardez le mode opératoire dans la notice.
Et peut-être qu'à la longue, le phénomène disparaitra de lui même.
Le sifflement du mitigeur peut provenir d'un entartrage consécutif à son usage s'il est ancien.
Un nettoyage interne pourrait-être envisagé. Pour cela, vous regardez le mode opératoire dans la notice.
Et peut-être qu'à la longue, le phénomène disparaitra de lui même.
13 mai 2013 à 12:15

Bonjour. C'est certainement du tartre. Vous pouvez essayer d'en enlever avec une spatule de peintre un peu souple, ou avec un autre objet long et souple. On peut passer également un furet, sorte de hérisson plus ou moins grand fixé sur un flexible ; mais pas forcément efficace sur des plaques de calcaire collées aux parois.
Vous pouvez également y mettre un décapant WC avec bec de canard par exemple, mais si l'émail de la cuvette est parti, cela peut attaquer sévèrement.
Et si le WC a fait son temps, on change.
Vous pouvez également y mettre un décapant WC avec bec de canard par exemple, mais si l'émail de la cuvette est parti, cela peut attaquer sévèrement.
Et si le WC a fait son temps, on change.
13 mai 2013 à 11:53

Bonjour. En l'absence de conseils de contributeurs expérimentés sur cette machine, vous pouvez regarder comment est fait le raccordement.
Vous débranchez la machine et vous enlevez la tôle arrière en dévissant les vis sur le pourtour. Vous verrez alors le raccordement du tube sur la pompe. Ensuite vous verrez si vous pouvez raccourcir le tube ou s'il en faut un neuf.
Vous débranchez la machine et vous enlevez la tôle arrière en dévissant les vis sur le pourtour. Vous verrez alors le raccordement du tube sur la pompe. Ensuite vous verrez si vous pouvez raccourcir le tube ou s'il en faut un neuf.
13 mai 2013 à 09:22

Bonjour. Il faudrait voir dans les combles comment cela est agencé. Si les combles sont recouverts d'un plancher bois, on peut faire une découpe très soigneuse avec une scie circulaire au milieu des solives bien délimitées. Vous verrez alors si les solives reposent sur le mur de briques ou non. Ensuite, on rebouche avec des panneaux OSB.
Mais vous pouvez également faire de même à droite de la porte en bas en effectuant une ouverture que vous pourrez toujours reboucher ultérieurement.
Dans un cas comme dans l'autre, il faudrait ouvrir.
Mais vous pouvez également faire de même à droite de la porte en bas en effectuant une ouverture que vous pourrez toujours reboucher ultérieurement.
Dans un cas comme dans l'autre, il faudrait ouvrir.
13 mai 2013 à 09:09

Bonjour Bob. Et oui, c'est bien de l'électricité générale comme on n'en fait plus beaucoup. Il n' y a plus grand monde qui sait ce qui se passe dans le ventre de ces contrôleurs universels analogiques.
Le galvanomètre lui même est une merveille technologique d'application des lois fondamentales de l'électricité, de l’électromagnétisme, de la mécanique des systèmes statiques et en mouvement etc.
Son histoire a débuté en 1820 avec André-Marie Ampère.
Le galvanomètre lui même est une merveille technologique d'application des lois fondamentales de l'électricité, de l’électromagnétisme, de la mécanique des systèmes statiques et en mouvement etc.
Son histoire a débuté en 1820 avec André-Marie Ampère.
12 mai 2013 à 20:21

Bonjour. La première des choses à faire est de vérifier le galvanomètre : entre la borne droite de R1 et la borne - de M1 mais déconnectée. Apparemment le calibre est de 40 microampères pour la déviation totale.
On constate qu'il n'y a aucun composant de protection de l'équipage mobile ; la moindre surcharge a pu être fatale au cadre mobile.
Ensuite, vous avez le choix si le cadre est bon et non bloqué : pulvériser un aérosol désoxydant sur le commutateur S1, idem sur S2.
Puis, au nez et à la vue voir si des résistances ne seraient pas grillées : R12 à R21 le shunt universel (mesure des intensités) et R 27 à R 33 (résistances série fonction voltmètre).
Il n'est pas certain que vous puissiez le remettre en service. Vous repassez en rouge tout le circuit voltmètre continu calibre 1,5 V par exemple, vous mettez une pile entre les bornes de mesure et vous voyez où il y a interruption du circuit.
Pourriez vous joindre une photo souvenir de ce multimètre ? Merci.
On constate qu'il n'y a aucun composant de protection de l'équipage mobile ; la moindre surcharge a pu être fatale au cadre mobile.
Ensuite, vous avez le choix si le cadre est bon et non bloqué : pulvériser un aérosol désoxydant sur le commutateur S1, idem sur S2.
Puis, au nez et à la vue voir si des résistances ne seraient pas grillées : R12 à R21 le shunt universel (mesure des intensités) et R 27 à R 33 (résistances série fonction voltmètre).
Il n'est pas certain que vous puissiez le remettre en service. Vous repassez en rouge tout le circuit voltmètre continu calibre 1,5 V par exemple, vous mettez une pile entre les bornes de mesure et vous voyez où il y a interruption du circuit.
Pourriez vous joindre une photo souvenir de ce multimètre ? Merci.
12 mai 2013 à 20:04

Bien reçu Patrick. La boite de dérivation est inutile ; vous repartez simplement du premier radiateur vers le deuxième (en identifiant l'arrivée et le départ, toujours utile en cas de dépannage). Vous respectez le sens du branchement phase neutre sur chaque radiateur, indispensable s'il y a utilisation du fil pilote. Dans ce cas, vous reliez les deux fils pilote des radiateurs.
12 mai 2013 à 17:38

Bonjour. Il s'agit d'un micro-rupteur qui contrôle certainement la présence du bac. Vous ne pouvez que vérifier sa continuité avec un ohmmètre, un fil débranché, et bien évidemment hors tension.
Confiez cet appareil à un SAV. A distance on ne peut vous conseiller autre chose qu'une vérification visuelle, le fonctionnement étant géré par une électronique interne sophistiquée.
Confiez cet appareil à un SAV. A distance on ne peut vous conseiller autre chose qu'une vérification visuelle, le fonctionnement étant géré par une électronique interne sophistiquée.
12 mai 2013 à 09:25

Bonjour.
La photo de droite est inexploitable.
Citation :Oui, mais vous vous êtes aperçu de quoi ? Qu'appelez vous interrupteur de sécurité ? Ne serait-ce pas un contact thermostatique appelé Klicson ?
...je me suis aperçue que le fil qui alimente l’interrupteur de sécurité...
La photo de droite est inexploitable.
11 mai 2013 à 19:58

Bien reçu PF. On imagine (un peu flou quand même) qu'il y a 4 relais en bas à droite. Vous regardez où sont raccordés les fils de la résistance et voyez si vous pouvez intervertir 2 relais faute d'en avoir un neuf.
Mais si vous êtes un peu bricoleur vous changez les 4 pour peu d'euros. Au mieux ça repart, au pire vous n'avez pas perdu grand chose. Nécessaire : bons fer à souder et outillage, et un peu d'habileté.
A tout hasard, en fonctionnement vous pouvez tapoter légèrement sur le capot du relais avec un manche de tournevis pour mettre en évidence un mauvais contact éventuel. Toujours en fonctionnement on doit entendre le "tic" du relais.
Manipuler avec les précautions d'usage.
Ces relais ressemblent à ceux que l'on trouve dans le gros électroménager. Ce n'est pas très difficile à approvisionner. Il faut juste voir les indications et relever les entraxes des (5 ?) broches.
Mais deux ans de service c'est énorme, car la plupart du temps, pour avoir vu comment ça se passe dans l'entourage, l'enthousiasme pour cette machine dure assez peu, quelques mois, puis après on retourne chez le boulanger car c'est quand même meilleur. L'appareil rejoint alors le cimetière des objets indispensables pendant pas longtemps.
Mais si vous êtes un peu bricoleur vous changez les 4 pour peu d'euros. Au mieux ça repart, au pire vous n'avez pas perdu grand chose. Nécessaire : bons fer à souder et outillage, et un peu d'habileté.
A tout hasard, en fonctionnement vous pouvez tapoter légèrement sur le capot du relais avec un manche de tournevis pour mettre en évidence un mauvais contact éventuel. Toujours en fonctionnement on doit entendre le "tic" du relais.
Manipuler avec les précautions d'usage.
Ces relais ressemblent à ceux que l'on trouve dans le gros électroménager. Ce n'est pas très difficile à approvisionner. Il faut juste voir les indications et relever les entraxes des (5 ?) broches.
Mais deux ans de service c'est énorme, car la plupart du temps, pour avoir vu comment ça se passe dans l'entourage, l'enthousiasme pour cette machine dure assez peu, quelques mois, puis après on retourne chez le boulanger car c'est quand même meilleur. L'appareil rejoint alors le cimetière des objets indispensables pendant pas longtemps.
11 mai 2013 à 19:51

Bonjour. S'il y a un relais d'alimentation de la résistance pour pouvez le contrôler (commande + contacts). Mais sans schéma on ne peut vous guider davantage. Cette machine a peut-être fait son temps.
11 mai 2013 à 16:29

Bien reçu Patrick. Dans le respect de la norme C15-100 vous pourrez faire ainsi. Personnellement, j'aurais tendance à privilégier l'autonomie des radiateurs, et ne pas faire fonctionner la ligne à la limite, ne serait-ce que pour la soulager.
Vous faites au mieux, en pensant à l'avenir : indépendance, programmation, délestage, fonctionnement sous le maximum autorisé. Quitte à faire quelques efforts pour le passage de lignes.
Cordialement.
Vous faites au mieux, en pensant à l'avenir : indépendance, programmation, délestage, fonctionnement sous le maximum autorisé. Quitte à faire quelques efforts pour le passage de lignes.
Cordialement.
11 mai 2013 à 14:34

Bonjour. On ne peut vous confirmer la validité de la mesure, ne sachant rien sur l'appareil utilisé.
Si le mesurage est bon, la capacité diffère de 33% de la valeur nominale ; jusqu’à 15 ou 20 % on s'en accommoderait.
Mais dans le doute vous pouvez mettre un autre condensateur si vous en avez un sous la main.
Si le mesurage est bon, la capacité diffère de 33% de la valeur nominale ; jusqu’à 15 ou 20 % on s'en accommoderait.
Mais dans le doute vous pouvez mettre un autre condensateur si vous en avez un sous la main.
11 mai 2013 à 10:08

Bonjour Patrick. Voir question 12240 qui traite ce sujet.
Avec 5 kW vous dépassez de 11 % la limite autorisée de 4,5 kW.
Le plus simple serait de passer au moins deux lignes spécialisées sinon trois à partir du tableau de répartition avec fils pilote permettant une programmation et un délestage.
Avec 5 kW vous dépassez de 11 % la limite autorisée de 4,5 kW.
Le plus simple serait de passer au moins deux lignes spécialisées sinon trois à partir du tableau de répartition avec fils pilote permettant une programmation et un délestage.
11 mai 2013 à 09:57

Bonjour. C'est mauvais signe. On ne peut expliquer le bruit au niveau du tambour. Si le disjoncteur de branchement a déclenché, ce peut-être par une surintensité s'il n'y a pas de fusibles ou disjoncteur modulaire sur la ligne du LL, ou par défaut d'isolement en l'absence d'interrupteur différentiel sur le tableau de répartition. On pencherait davantage pour cette hypothèse.
Avant d'appeler un SAV, vous pouvez toujours démonter la plaque derrière pour suivre l'odeur à la trace et ainsi voir si un conducteur ou un composant ne serait pas endommagé.
Si vous ne trouvez pas de défaut franc, il faudra alors appeler un SAV.
Avant toute intervention débrancher du secteur électrique votre machine à laver.
Avant d'appeler un SAV, vous pouvez toujours démonter la plaque derrière pour suivre l'odeur à la trace et ainsi voir si un conducteur ou un composant ne serait pas endommagé.
Si vous ne trouvez pas de défaut franc, il faudra alors appeler un SAV.
Avant toute intervention débrancher du secteur électrique votre machine à laver.
10 mai 2013 à 20:00

Bien reçu.
Vous pouvez aussi mettre des flexibles provisoires en sorties d'excentriques pour les mettre directement dans un seau. Ainsi, vous n'aurez pas de risque d'être douché à l'horizontale.
Citation :Pour lever le doute, vous mettez une cuvette en dessous des sorties des excentriques et vous ouvrez doucement le robinet général. Vous verrez alors si les débit eau chaude et eau froide sont identiques.
Alors est ce la partie en amont du mitigeur qui est rempli de calcaire ?
Vous pouvez aussi mettre des flexibles provisoires en sorties d'excentriques pour les mettre directement dans un seau. Ainsi, vous n'aurez pas de risque d'être douché à l'horizontale.
09 mai 2013 à 17:23

Bonjour. Vous regardez les filtres à l'endroit du raccordement sur les excentriques. Il ne serait pas bizarre de les voir plus ou moins obstrués. Un nettoyage interne du mélangeur ne pourra faire que du bien.
Attention au sens du montage des filtres : le creux vers le corps du robinet mélangeur.
Attention au sens du montage des filtres : le creux vers le corps du robinet mélangeur.
09 mai 2013 à 14:55

Bonjour. Dans ce cas vous coupez l'alimentation générale, démontez lavabo et baignoire, et au droit du raccord des flexibles de la robinetterie vous mettez des bouchons ou des vannes d'arrêt à bille.
En fonction du type de raccordement il faudra adapter un type de bouchon. Vous pouvez joindre une photo des entrailles du lavabo et de la baignoire, et un contributeur précisera ce qu'il vous faut.
Mais une coupure générale de la salle de bain pourrait être prévue dans le cadre de votre nouvel aménagement.
En fonction du type de raccordement il faudra adapter un type de bouchon. Vous pouvez joindre une photo des entrailles du lavabo et de la baignoire, et un contributeur précisera ce qu'il vous faut.
Mais une coupure générale de la salle de bain pourrait être prévue dans le cadre de votre nouvel aménagement.
09 mai 2013 à 14:51

Bien reçu.
"..s’ils n'ont pas branché les communs ou un voisin sur mon installation" C'est difficile à imaginer, pour ne pas dire inimaginable. Et qui serait ces "ils" malhonnêtes ? Enfin, l'électricien vérifiera.
Citation :Pour l'instant, non. L'électricien devra vérifier la consommation en aval de votre DJ de branchement, et contrôlera la cuisinière, consommation et isolement.
Mais si vous avez d'autres idées entre temps
"..s’ils n'ont pas branché les communs ou un voisin sur mon installation" C'est difficile à imaginer, pour ne pas dire inimaginable. Et qui serait ces "ils" malhonnêtes ? Enfin, l'électricien vérifiera.
09 mai 2013 à 14:44

Bien reçu Marie. Ok pour les plombs bien entendu.
"...Mais je présume que si je retire seulement le fusible concerné ce sera suffisant." Oui, mais vous présumez. Donc si vous avez une certitude absolue que le fusible est le bon vous pouvez faire le changement (en réalité, le porte fusible de 2001 doit couper phase et neutre quand on l'abaisse, ce que l'on nomme coupure omnipolaire). Mais dans le doute toujours possible, vous coupez tout.
"...Mais je présume que si je retire seulement le fusible concerné ce sera suffisant." Oui, mais vous présumez. Donc si vous avez une certitude absolue que le fusible est le bon vous pouvez faire le changement (en réalité, le porte fusible de 2001 doit couper phase et neutre quand on l'abaisse, ce que l'on nomme coupure omnipolaire). Mais dans le doute toujours possible, vous coupez tout.
09 mai 2013 à 12:25

Bonjour. On est un peu démunis devant votre problème. Il s'agit bien du disjoncteur différentiel de branchement.
On pourrait supposer que le DJ déclenche par surcharge alors que d'autres récepteurs sont en fonctionnement, ce que vous infirmez. Mais une cuisinière comporte un four et soit des brûleurs à gaz, ou des plaques électriques ; ce point serait à préciser pour justifier une surcharge électrique éventuelle.
On pourrait incriminer un défaut d'isolement sporadique.
Il faudrait voir si le déclenchement se produit avec le four ou le grill + les plaques.
Mais ces deux hypothèses seraient contredites par le fait que le déclenchement se produit seulement le soir.
Un électricien pourra effectuer quelques mesures pour discriminer les deux hypothèses, surconsommation ou défaut du four. On ne change aucune pièce tant que le diagnostic n'est pas établi.
Mais auparavant il faudra mieux cerner les conditions d'apparition de l'incident.
On pourrait supposer que le DJ déclenche par surcharge alors que d'autres récepteurs sont en fonctionnement, ce que vous infirmez. Mais une cuisinière comporte un four et soit des brûleurs à gaz, ou des plaques électriques ; ce point serait à préciser pour justifier une surcharge électrique éventuelle.
On pourrait incriminer un défaut d'isolement sporadique.
Il faudrait voir si le déclenchement se produit avec le four ou le grill + les plaques.
Mais ces deux hypothèses seraient contredites par le fait que le déclenchement se produit seulement le soir.
Un électricien pourra effectuer quelques mesures pour discriminer les deux hypothèses, surconsommation ou défaut du four. On ne change aucune pièce tant que le diagnostic n'est pas établi.
Mais auparavant il faudra mieux cerner les conditions d'apparition de l'incident.
09 mai 2013 à 10:02

Bonjour. Il n'est pas certain que vous puissiez utiliser ces moteurs sur votre réseau car il faudrait que vous disposiez d'une distribution triphasée.
Si c’est le cas et en fonction de la valeur de la tension entre phases, vous couplerez le stator suivant l'un ou l'autre schéma.
Si vous ne disposez pas du triphasé, vous ne pourrez vous servir de ces compresseurs en modifiant l'alimentation de leur moteur avec condensateur additionnel.
D'autre part, le fonctionnement du compresseur nécessite une commande qui impose un raccordement non pas au niveau du moteur, mais sur un bornier (M1 m² M3 ou T1 T2 T3) qui alimentera le circuit de commande et de puissance (boite à boutons, pressostat, contacteur, moteur, sécurités).
On remarque que la puissance de chaque moteur semble bien petite pour faire fonctionner un compresseur.
Pour un usage occasionnel domestique, il vaudra mieux acquérir un petit compresseur fonctionnant en monophasé. Un électricien local pourra vous conseiller.
Si c’est le cas et en fonction de la valeur de la tension entre phases, vous couplerez le stator suivant l'un ou l'autre schéma.
Si vous ne disposez pas du triphasé, vous ne pourrez vous servir de ces compresseurs en modifiant l'alimentation de leur moteur avec condensateur additionnel.
D'autre part, le fonctionnement du compresseur nécessite une commande qui impose un raccordement non pas au niveau du moteur, mais sur un bornier (M1 m² M3 ou T1 T2 T3) qui alimentera le circuit de commande et de puissance (boite à boutons, pressostat, contacteur, moteur, sécurités).
On remarque que la puissance de chaque moteur semble bien petite pour faire fonctionner un compresseur.
Pour un usage occasionnel domestique, il vaudra mieux acquérir un petit compresseur fonctionnant en monophasé. Un électricien local pourra vous conseiller.
09 mai 2013 à 09:40

Bonsoir GC. Effectivement, on comprend mieux si l'on fait un zoom sur le câble d'arrivée, mais les photos sont pâlottes et floues. Il semble donc (sauf mauvaise vue) que la section du câble d'arrivée soit de 1,5 mm².
Si les contacts entre les bornes de raccordement du thermostat et les conducteurs d'arrivée sont mauvais et oxydés (ce qui est évident après re-zoom attentionné), il est normal que l'isolant devienne mou et carbonise.
Conclusion pour Zaz : il faut effectivement alimenter le chauffe eau en câble 3×2,5 mm² si ce n'est pas le cas, et soigner le raccordement sur le thermostat en faisant une boucle autour de chaque vis.
Les deux compagnons, plombier et électricien, auraient pu s'apercevoir de l'origine du défaut.
Mais on peut supposer que les contacts à l'intérieur du thermostat ne sont pas bien beaux non plus, l’échauffement étant transmis en interne. Il serait indispensable de changer de nouveau ce thermostat.
Si les contacts entre les bornes de raccordement du thermostat et les conducteurs d'arrivée sont mauvais et oxydés (ce qui est évident après re-zoom attentionné), il est normal que l'isolant devienne mou et carbonise.
Conclusion pour Zaz : il faut effectivement alimenter le chauffe eau en câble 3×2,5 mm² si ce n'est pas le cas, et soigner le raccordement sur le thermostat en faisant une boucle autour de chaque vis.
Les deux compagnons, plombier et électricien, auraient pu s'apercevoir de l'origine du défaut.
Mais on peut supposer que les contacts à l'intérieur du thermostat ne sont pas bien beaux non plus, l’échauffement étant transmis en interne. Il serait indispensable de changer de nouveau ce thermostat.
08 mai 2013 à 21:27

Bonjour Marie. La lampe basse consommation chauffe moins que la lampe à incandescence, mais le culot chauffe quand même. Au bout d'un certain temps, la douille s'oxyde, le contact devient mauvais et est alors le siège d'un échauffement local cumulatif qui se propage à la bakélite de la douille. Et il faut alors la changer.
Il en est de même pour la douille de la lampe à incandescence E14. Que la lampe à filament grille n'est pas exceptionnel ; que le filament se mette en court-circuit à ce moment est fréquent (avec émission d'un éclair bref), ce qui entraine alors le déclenchement d'un disjoncteur modulaire ou d'un fusible.
Quant au plomb, on peut supposer que le Consuel n'en n'a pas vu car il n'aurait pas délivré de certificat en 2001.
Conclusion : il n'y a rien de bizarre chez vous.
Il en est de même pour la douille de la lampe à incandescence E14. Que la lampe à filament grille n'est pas exceptionnel ; que le filament se mette en court-circuit à ce moment est fréquent (avec émission d'un éclair bref), ce qui entraine alors le déclenchement d'un disjoncteur modulaire ou d'un fusible.
Quant au plomb, on peut supposer que le Consuel n'en n'a pas vu car il n'aurait pas délivré de certificat en 2001.
Conclusion : il n'y a rien de bizarre chez vous.
08 mai 2013 à 20:31

Bonjour. On ne voit pas sur les photos quels sont les conducteurs qui chauffent. Ils peuvent chauffer si le raccordement est mauvais, la résistance de contact fait qu'il y a un échauffement local qui peut se propager au conducteur par l'intermédiaire de la cosse.
Le thermostat se met en sécurité quand le thermostat de réglage ne fait pas son office.
C'est au plombier de résoudre le problème ; il faut qu'il mesure l'intensité consommée à la pince ampèremétrique et voir si elle est normale. S'il n'en n'a pas, il en emprunte une à un collègue électricien. Ou mieux, il le fait intervenir directement en espérant qu'il approfondisse et fasse au moins cette mesure.
Nota : le SAV Ariston pourrait peut-être résoudre le problème si le plombier est défaillant. Voir le site.
Le thermostat se met en sécurité quand le thermostat de réglage ne fait pas son office.
C'est au plombier de résoudre le problème ; il faut qu'il mesure l'intensité consommée à la pince ampèremétrique et voir si elle est normale. S'il n'en n'a pas, il en emprunte une à un collègue électricien. Ou mieux, il le fait intervenir directement en espérant qu'il approfondisse et fasse au moins cette mesure.
Nota : le SAV Ariston pourrait peut-être résoudre le problème si le plombier est défaillant. Voir le site.
08 mai 2013 à 19:45

Bonjour.
"...comment le brancher ?" Là est le problème véritable qu'il aurait fallu envisager préalablement à l'achat.
Néanmoins, pour l'installer à la place d'un télérupteur il faudra décâbler celui-ci non sans avoir relevé avec précision le schéma de câblage comportant les boutons poussoir, le télérupteur, les lampes, l'alimentation du circuit. Compte tenu du relevé et des conducteurs disponibles au tableau dans l'environnement du télérupteur vous verrez s'il y a possibilité ou non de monter le module.
Ensuite si le montage est possible, on met en œuvre le schéma de câblage Yokis C ou D (en mettant les BP en parallèle) disponible ici : yokis notices mtr504.pdf
Et cela pour une charge maximum de 500 W en incandescence.
Vous faites au mieux. Mais il vaut mieux être proche du métier, ce n'est pas un montage accessible aux débutants.
"...comment le brancher ?" Là est le problème véritable qu'il aurait fallu envisager préalablement à l'achat.
Néanmoins, pour l'installer à la place d'un télérupteur il faudra décâbler celui-ci non sans avoir relevé avec précision le schéma de câblage comportant les boutons poussoir, le télérupteur, les lampes, l'alimentation du circuit. Compte tenu du relevé et des conducteurs disponibles au tableau dans l'environnement du télérupteur vous verrez s'il y a possibilité ou non de monter le module.
Ensuite si le montage est possible, on met en œuvre le schéma de câblage Yokis C ou D (en mettant les BP en parallèle) disponible ici : yokis notices mtr504.pdf
Et cela pour une charge maximum de 500 W en incandescence.
Vous faites au mieux. Mais il vaut mieux être proche du métier, ce n'est pas un montage accessible aux débutants.
08 mai 2013 à 09:32

Bonjour Franck. Juste un avis personnel.
Si vous êtes pour changer le chauffe-eau avant fuite généralisée toujours possible, et peut-être atteint par la limite d'âge d'ici quelques temps, on peut vous conseiller un modèle classique de type ACI+. C'est globalement sans soucis.
Si vous êtes pour changer le chauffe-eau avant fuite généralisée toujours possible, et peut-être atteint par la limite d'âge d'ici quelques temps, on peut vous conseiller un modèle classique de type ACI+. C'est globalement sans soucis.
07 mai 2013 à 12:52

Bonjour.
Ce serait ce type de produit : "Le PVC-C est un PVC surchloré qui est principalement utilisé dans l'industrie chimique pour l'électrolyse du chlore, dans le domaine de la galvanoplastie et dans l'industrie du papier. " C'est du costaud.
La documentation PUM est ici : distribution alimentation en pvc c.pdf
Peut-être faudrait-il demander à PUM comment on peut faire l’adaptation ? Ou consulter les E-catalogues.
Mais ne pourriez vous pas contacter le constructeur comme le conseille l'ami PL ?
Ce serait ce type de produit : "Le PVC-C est un PVC surchloré qui est principalement utilisé dans l'industrie chimique pour l'électrolyse du chlore, dans le domaine de la galvanoplastie et dans l'industrie du papier. " C'est du costaud.
La documentation PUM est ici : distribution alimentation en pvc c.pdf
Peut-être faudrait-il demander à PUM comment on peut faire l’adaptation ? Ou consulter les E-catalogues.
Mais ne pourriez vous pas contacter le constructeur comme le conseille l'ami PL ?
07 mai 2013 à 10:17

Bonjour à tous. Juste une remarque concernant le clouage.
On suppose que l'OSB est fixé sur des lambourdes avec un espacement entre deux tel que la planche est dans le vide.
Clouer sur de l'OSB dans cette configuration sera difficile d'autant plus qu'une bonne partie sera élastique, la précision du travail sera aléatoire. Ou bien il faut des pointes très fines (acier trempé ?) pour passer dans les languettes de chêne sans les fendre.
Dans le même cas, j'aurais tendance également à visser non sans avoir fait des avant trous (idem pour des clous). De toute façon cela prendra du temps.
Fifi peut s'entrainer sur des chutes pour voir comment cela se présente, et s'il n'y a pas de grincement à la longue, que ce soit une fixation par clous ou vis.
Peut-être faudra-t-il que la première lame soit collée.
Conclusion : ce n'est pas si simple.
On suppose que l'OSB est fixé sur des lambourdes avec un espacement entre deux tel que la planche est dans le vide.
Clouer sur de l'OSB dans cette configuration sera difficile d'autant plus qu'une bonne partie sera élastique, la précision du travail sera aléatoire. Ou bien il faut des pointes très fines (acier trempé ?) pour passer dans les languettes de chêne sans les fendre.
Dans le même cas, j'aurais tendance également à visser non sans avoir fait des avant trous (idem pour des clous). De toute façon cela prendra du temps.
Fifi peut s'entrainer sur des chutes pour voir comment cela se présente, et s'il n'y a pas de grincement à la longue, que ce soit une fixation par clous ou vis.
Peut-être faudra-t-il que la première lame soit collée.
Conclusion : ce n'est pas si simple.
07 mai 2013 à 08:58

Bien reçu.
C'est impeccable.
Il semble que, comme le souligne Bob (salutations), le circuit est identifié : C'est le troisième porte fusible "radiateur" (il semble ne pas y avoir de DJ modulaires pour le chauffage). Ce circuit alimente x radiateurs en haut, et l'un d'eux présenterait un défaut d'isolement.
On en déduit que les radiateurs sont anciens et non à double isolation car probablement reliés à la terre. A confirmer.
Il demeure une ambiguïté : "J'ai testé le radiateur sur une autre prise"
Il s'agit du seul radiateur alors en fonctionnement en haut, mais alors que les x autres en haut demeuraient raccordés. Ceci montrerait que ce radiateur, voire d'autres, sont munis de fiches avec borne de terre et connectées sur des prises de courant avec terre, et non des sorties de câble. Ces points seraient à préciser.
A ce stade, et au risque de se tromper, on peut envisager une connexion défectueuse sporadique sur l'un des x - 1 radiateurs de la ligne incriminée. Mais cette hypothèse ne ne tient pas avec cette remarque : "j'ai entendu un bruit, comme une sorte de frottement, dans le mur, ça s'est arrêté puis ça a recommencé, puis d'un seul coup le disjoncteur a disjoncté.".
Il va falloir tester tous les radiateurs du haut qui sont alimentés par la même ligne ; et ensuite il faudra contrôler la ligne elle même si les radiateurs ne présentent aucun défaut d'isolement.
Conclusion du soir :
- lever l'incertitude sur le type de raccordement de chaque radiateur du haut,
- s'assurer qu'ils sont bien reliés à la terre et qu'ils ne présentent pas de défaut d'isolement avec un ohmmètre,
- contrôler la ligne en cause commandée par le troisième porte fusible "radiateur".
Mais il faut être proche du métier, avoir un multimètre et savoir s'en servir.
elle012, vous faites déjà les vérifications que vous pouvez effectuer pour cerner l'origine du problème. Il n'est pas encore certain que vous n'ayez pas besoin de l'intervention d'un électricien dans les jours qui viennent.
Citation :
Est-ce que cela vous semble plus clair.
C'est impeccable.
Il semble que, comme le souligne Bob (salutations), le circuit est identifié : C'est le troisième porte fusible "radiateur" (il semble ne pas y avoir de DJ modulaires pour le chauffage). Ce circuit alimente x radiateurs en haut, et l'un d'eux présenterait un défaut d'isolement.
On en déduit que les radiateurs sont anciens et non à double isolation car probablement reliés à la terre. A confirmer.
Il demeure une ambiguïté : "J'ai testé le radiateur sur une autre prise"
Il s'agit du seul radiateur alors en fonctionnement en haut, mais alors que les x autres en haut demeuraient raccordés. Ceci montrerait que ce radiateur, voire d'autres, sont munis de fiches avec borne de terre et connectées sur des prises de courant avec terre, et non des sorties de câble. Ces points seraient à préciser.
A ce stade, et au risque de se tromper, on peut envisager une connexion défectueuse sporadique sur l'un des x - 1 radiateurs de la ligne incriminée. Mais cette hypothèse ne ne tient pas avec cette remarque : "j'ai entendu un bruit, comme une sorte de frottement, dans le mur, ça s'est arrêté puis ça a recommencé, puis d'un seul coup le disjoncteur a disjoncté.".
Il va falloir tester tous les radiateurs du haut qui sont alimentés par la même ligne ; et ensuite il faudra contrôler la ligne elle même si les radiateurs ne présentent aucun défaut d'isolement.
Conclusion du soir :
- lever l'incertitude sur le type de raccordement de chaque radiateur du haut,
- s'assurer qu'ils sont bien reliés à la terre et qu'ils ne présentent pas de défaut d'isolement avec un ohmmètre,
- contrôler la ligne en cause commandée par le troisième porte fusible "radiateur".
Mais il faut être proche du métier, avoir un multimètre et savoir s'en servir.
elle012, vous faites déjà les vérifications que vous pouvez effectuer pour cerner l'origine du problème. Il n'est pas encore certain que vous n'ayez pas besoin de l'intervention d'un électricien dans les jours qui viennent.
06 mai 2013 à 23:35

Bonjour. Juste une remarque en passant.
Un extracteur possède une petite hélice qui tourne vite pour que l'appareil ait le débit nominal ; cela fait qu'un extracteur est bruyant, et sur une plage horaire très longue cela doit être fatigant, pour le personnel et les usagers. Et l'on ne parle pas de la durée de vie de l'appareil.
Une VMC même basique assurerait l'extraction dans des conditions bien plus silencieuses si l'on fait le bon choix, et 24 h / 24.
Le problème relaté en question 12699 a-t-il été résolu ?
Un extracteur possède une petite hélice qui tourne vite pour que l'appareil ait le débit nominal ; cela fait qu'un extracteur est bruyant, et sur une plage horaire très longue cela doit être fatigant, pour le personnel et les usagers. Et l'on ne parle pas de la durée de vie de l'appareil.
Une VMC même basique assurerait l'extraction dans des conditions bien plus silencieuses si l'on fait le bon choix, et 24 h / 24.
Le problème relaté en question 12699 a-t-il été résolu ?
06 mai 2013 à 18:33

Bonjour. Bien que la pièce soit biscornue, le rajout d'un WC ne semble pas poser de problème particulier de raccordement avec celui du bas. Il suffit juste de passer (et cacher) un tuyau de diamètre 100 mm.
Pas d'avis précis concernant la cloison (laquelle d'ailleurs ?), il faudrait être sur place.
Un professionnel sur place pourrait vous conseiller au mieux en fonctions des particularités de la construction.
Mais s'agissant d'une construction individuelle, la modification mineure du plan devrait être possible, quitte à ce qu'il y ait une plus-value. Peut-être de montant moins élevé que les modifications ultérieures.
Pas d'avis précis concernant la cloison (laquelle d'ailleurs ?), il faudrait être sur place.
Un professionnel sur place pourrait vous conseiller au mieux en fonctions des particularités de la construction.
Mais s'agissant d'une construction individuelle, la modification mineure du plan devrait être possible, quitte à ce qu'il y ait une plus-value. Peut-être de montant moins élevé que les modifications ultérieures.
06 mai 2013 à 11:49

Bonjour. Avant de rentrer dans les détails, vous parcourrez la question 12732 qui développe un problème un peu similaire.
Vous étudiez la structure d'un tableau, vous assimilez la différence entre interrupteur différentiel et disjoncteur modulaire, puis vous revenez sur le forum en détaillant bien votre problème, notamment en distinguant bien les disjoncteurs modulaires du disjoncteur de branchement. Ce afin de savoir quels sont les appareillages en cause.
Une photo nette du tableau peut aider.
En attendant, vous testez le radiateur sur une prise dont vous êtes sûre, celle du lave-linge par exemple.
On espère que l'installation est relativement récente et qu'il n'y ait pas de conducteurs défectueux encastrés dans le mur.
Vous étudiez la structure d'un tableau, vous assimilez la différence entre interrupteur différentiel et disjoncteur modulaire, puis vous revenez sur le forum en détaillant bien votre problème, notamment en distinguant bien les disjoncteurs modulaires du disjoncteur de branchement. Ce afin de savoir quels sont les appareillages en cause.
Une photo nette du tableau peut aider.
En attendant, vous testez le radiateur sur une prise dont vous êtes sûre, celle du lave-linge par exemple.
On espère que l'installation est relativement récente et qu'il n'y ait pas de conducteurs défectueux encastrés dans le mur.
05 mai 2013 à 22:26

Bien reçu Maurice, et merci pour les renseignements.
Sachant que vous avez des radiateurs électriques, vous pouvez les délester automatiquement par l'intermédiaire d'un gestionnaire d'énergie à 2 ou 3 zones raccordé à la télé info. Il faut y connecter les fils pilote, moyen le plus simple.
Vous gagneriez ainsi quelques kW alors disponibles.
Cordialement.
Sachant que vous avez des radiateurs électriques, vous pouvez les délester automatiquement par l'intermédiaire d'un gestionnaire d'énergie à 2 ou 3 zones raccordé à la télé info. Il faut y connecter les fils pilote, moyen le plus simple.
Vous gagneriez ainsi quelques kW alors disponibles.
Cordialement.
05 mai 2013 à 15:28

Oui, tous les déboires viennent de là. Vous nettoyez soigneusement les conducteurs et les cages des borniers de l'ID (abrasif etc.) et vous remontez en serrant bien.
Quand on peut on raccourcit les conducteurs pour que le cuivre soit bien propre.
Le court-circuit au niveau de la douille n'a fait qu'accentuer le phénomène de mauvais contacts.
A noter que les mauvais contacts entrainent des échauffements pouvant être dangereux, on peut entendre un grésillement, et "ça sent le grillé". A ce moment, et si possible avant, on s'inquiète.
En attendant, vous faites un peu de révision sur la structure des tableaux de répartition : qui protège quoi et comment.
Et c'est reparti s'il n'y a pas de mauvais contacts ni de court-circuits. Donc vous resserrez toutes les vis qui se présentent, DJ de branchement déclenché.
Quand on peut on raccourcit les conducteurs pour que le cuivre soit bien propre.
Le court-circuit au niveau de la douille n'a fait qu'accentuer le phénomène de mauvais contacts.
A noter que les mauvais contacts entrainent des échauffements pouvant être dangereux, on peut entendre un grésillement, et "ça sent le grillé". A ce moment, et si possible avant, on s'inquiète.
En attendant, vous faites un peu de révision sur la structure des tableaux de répartition : qui protège quoi et comment.
Et c'est reparti s'il n'y a pas de mauvais contacts ni de court-circuits. Donc vous resserrez toutes les vis qui se présentent, DJ de branchement déclenché.
05 mai 2013 à 11:32

Je viens de voir votre post de 9 h 29. Il semble qu'une des connexions sur le haut de l'ID incriminé fut desserrée.
En attendant, DJ de branchement coupé, vous resserrez toutes les connexions sur le tableau.
Quand on intervient sur un conducteur d'un circuit quelconque, on s'assure qu'il n'y a aucun court-circuit. Bref, il faut agir avec une extrême prudence.
Quel est le boitier qui est noirci ? (Photo nette éventuelle).
En attendant, DJ de branchement coupé, vous resserrez toutes les connexions sur le tableau.
Quand on intervient sur un conducteur d'un circuit quelconque, on s'assure qu'il n'y a aucun court-circuit. Bref, il faut agir avec une extrême prudence.
Quel est le boitier qui est noirci ? (Photo nette éventuelle).
05 mai 2013 à 10:12

Citation :On peut donc penser que l'installation est bien en monophasé, ce qui facilitera la recherche de l'origine de la panne.
C'est ce qui me donne un peu de lumière dans l'appartement
05 mai 2013 à 10:01

Bonjour.
Citation :Sans problème.
mais 1² ça sera suffisant non ?
05 mai 2013 à 09:44

Bonjour. Il semble bien que ce soit une installation monophasée, mais vous allez vous en assurer. Comme vous savez désormais vous servir d'une lampe témoin, vous allez pouvoir de nouveau l'utiliser.
Pour voir si l'alimentation est monophasée ou triphasée, vous regardez le tableau de répartition.
Si la distribution est monophasée, vous devez avoir un bornier de neutre avec quelques câbles bleus. Ensuite vous devez avoir un seul bornier de phase. La lampe témoin entre ces deux borniers doit s'allumer. Exemple de tableau monophasé en question 12350.
Si la distribution est triphasée, vous avez un seul bornier de neutre, et 3 borniers de phase. La lampe connectée entre le neutre et chacun des 3 borniers de phase successivement doit s'allumer. En aucun cas vous ne branchez la lampe entre phases (sinon, 400 V aux bornes de la lampe). Exemple de tableau triphasé en questions 5823 ou 10506.
Une photo générale du tableau aurait permis de lever directement l'incertitude concernant la distribution mono ou tri.
Si la lampe connectée à l'arrivée sur l'ID reste éteinte, c'est qu'il n'est pas alimenté. Vous allez suivre de visu le cheminement des deux câbles d'arrivée et vous regardez où ils sont raccordés. Vous avez évoqué un fil plus ou moins marron, peut-être carbonisé. Donc vous examinez cette piste.
Nota : Si l'ID n'est pas alimenté, il est normal que le bouton test demeure inactif.
Continuez à bien faire la distinction entre ID (chacun avec son bouton test) et DJ.
Pour voir si l'alimentation est monophasée ou triphasée, vous regardez le tableau de répartition.
Si la distribution est monophasée, vous devez avoir un bornier de neutre avec quelques câbles bleus. Ensuite vous devez avoir un seul bornier de phase. La lampe témoin entre ces deux borniers doit s'allumer. Exemple de tableau monophasé en question 12350.
Si la distribution est triphasée, vous avez un seul bornier de neutre, et 3 borniers de phase. La lampe connectée entre le neutre et chacun des 3 borniers de phase successivement doit s'allumer. En aucun cas vous ne branchez la lampe entre phases (sinon, 400 V aux bornes de la lampe). Exemple de tableau triphasé en questions 5823 ou 10506.
Une photo générale du tableau aurait permis de lever directement l'incertitude concernant la distribution mono ou tri.
Si la lampe connectée à l'arrivée sur l'ID reste éteinte, c'est qu'il n'est pas alimenté. Vous allez suivre de visu le cheminement des deux câbles d'arrivée et vous regardez où ils sont raccordés. Vous avez évoqué un fil plus ou moins marron, peut-être carbonisé. Donc vous examinez cette piste.
Nota : Si l'ID n'est pas alimenté, il est normal que le bouton test demeure inactif.
Continuez à bien faire la distinction entre ID (chacun avec son bouton test) et DJ.
05 mai 2013 à 09:31

Bon, c'est très bien. On suppose donc que l'ID est mort.
Si vous pouvez brancher une lampe témoin (voir question 12711) en sortie de l'ID (donc sur les vis en bas), la lampe ne s'allumera pas si l'ID est HS (et vice versa) ; sur les vis du haut la lampe devrait s'allumer. Si vous n'avez pas de lampe témoin, une lampe de chevet avec ses deux fils dénudés sur 2 mm ferait le même travail. Enfin, avec un voltmètre, on mesure la tension en entrée et sortie de l'ID, levier en haut.
Demain on verra comment faire une réparation provisoire quand vous aurez communiqué le résultat des essais.
Bonne nuit.
Si vous pouvez brancher une lampe témoin (voir question 12711) en sortie de l'ID (donc sur les vis en bas), la lampe ne s'allumera pas si l'ID est HS (et vice versa) ; sur les vis du haut la lampe devrait s'allumer. Si vous n'avez pas de lampe témoin, une lampe de chevet avec ses deux fils dénudés sur 2 mm ferait le même travail. Enfin, avec un voltmètre, on mesure la tension en entrée et sortie de l'ID, levier en haut.
Demain on verra comment faire une réparation provisoire quand vous aurez communiqué le résultat des essais.
Bonne nuit.
04 mai 2013 à 23:40
